Ludivine Henocq
Ludivine Henocq
Ludivine Henocq
Ludivine Hénocq raconte des histoires, chante, bricole des chansons, ou reprend celles qui l’ont émue. Elle aime accompagner le tout de sa « boîte à soupirs » : son accordéon.
Très vite, alors qu’elle est encore étudiante, Ludivine s’improvise une sorte de « double cursus », en menant de front ses études, et ses débuts dans le conte et la musique : elle déserte souvent les bancs de la fac pour partir faire un stage, ou bien pour aller conter dans les petites écoles de village.
Sa licence de lettres en poche, elle dit « zut ! » au temps qui passe, et décide de consacrer sa vie aux domaines qui l’empêchent de dormir. Après un stage d'initiation à l'art du conte auprès de Barbara Bauer, puis avec Annie Kiss au CLIO, Ludivine poursuit sa formation aux côtés de Philippe Sizaire et d’Henri Gougaud. Parallèlement à cela, elle épanouit sa passion pour le chant, en travaillant sa technique vocale et en élargissant son répertoire: chants traditionnels du monde, chants de troubadours et trouvères, chants séfarades...
Aujourd’hui, Ludivine partage son temps entre le chant, qu’elle exerce dans une compagnie de spectacle de rue, et le conte.
« Heureux soient les fêlés, ils laisseront passer la lumière » (Audiard) : Ludivine aime à raconter la fêlure de ses personnages, cette brèche existant en tout un chacun et qui, à défaut de laisser passer une quelconque lumière, ouvre en tout cas un sentier sur les terres de la mémoire : un sentier sauvage où fleurissent le rêve et l’émotion.